Covid-19 et Edward Hopper : une solitude qui nous rassemble
Passerelles : a French podcast for intermediate learners - Un podcast de Emilie
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Bienvenue dans Passerelles, un podcast pensé pour éveiller la curiosité des apprenantes et des apprenants de français. Dans chaque épisode, je partage avec vous une question inspirée par les podcasts que j'écoute, par mes lectures. Et tout simplement par des choses qui m'ont marqué, qui m'ont étonné récemment. J'ai eu envie de créer ce podcast pour transmettre des idées et encourager la conversation sur des sujets variés. Vous pouvez participer en vous abonnant à Passerelles, sur votre application de podcasts préférée. Merci pour votre écoute et à très vite ! Pour plus d'informations sur les épisodes à venir, des ressources pour aller plus loin après l'écoute, vous pouvez me retrouver sur Instagram : @frenchdiaries ---- La question du jour : Comment est-ce que notre expérience commune de la solitude nous rapproche ? De quelle(s) manière(s) cette période d'isolement vous touche au quotidien ? Au temps de la pandémie, comment est-ce la musique, les livres, les films, l’histoire, ou l’art peuvent parfois nous aider à trouver du sens ? La phrase à retenir : “Je reste à l’écart et je crée ainsi un lien avec un ensemble plus vaste.” En mettant côte à côte nos expériences, on réalise qu’on traverse tous cette période ensemble. Chacun et chacune à sa manière, évidemment. […] Tout ça, je crois que ça aide à se sentir moins seul.e, et ainsi à créer un lien avec les autres. Résumé de l'épisode : Dans l'épisode de cette semaine, j'ai opté pour un format plus court. Donc, impossible de vous expliquer en détails pourquoi j'aime tant les œuvres d'Edward Hopper. Certes, on affirme aujourd'hui qu'il est LE peintre de la solitude et de l'isolement. Mais ce qui m'attire dans ses peintures, c'est aussi la manière dont les personnages s'inscrivent dans un espace, l'architecture et la lumière. Chez Hopper, la solitude est associée à un sentiment de contentement. C'est une vision que je partage aussi. Dans cet épisode, je vous parle des points principaux d'un article que j'ai lu dans Courrier International (04:46), et du sentiment de connexion humaine qui se dégage des tableaux d'Hopper, qui explique qu'on se sente proche de ses personnages, surtout à une époque où nous nous sentons, nous-mêmes, isolé.e.s (07:30). L'épisode s'achève sur quelques mots au sujet de mon expérience du Covid-10 à Taïwan (09:56). Pour aller plus loin : L'article "Edward Hopper ou l’art de peindre l’isolement et une solitude qui nous parle tant" dans Courrier International ---- Crédit musique : Betty Dear + Taoudella by Blue Dot Sessions