C'est le capitalisme qu'il faut décrocher (avec Vincent Verzat)

Floraisons - Un podcast de floraisons

Dans un format audio un peu plus court que d’habitude, les « stagiaires en balade ». Nous explorons sur le terrain des actualités que nous commentons. Pour cette balade du 11 septembre 2019, on s’est dit qu’on irait bien faire un tour au Tribunal de Grande Instance de Paris, où huit personnes sont jugées pour vol en réunion avec ruse d’un portrait d’Emmanuel Macron d’une valeur de 8,70€. À l’occasion d’un procès de décrocheuses et décrocheurs de portraits du mouvement climat, nous discutons avec Vincent Verzat. Nous tenons à rappeler notre soutien aux activistes écologistes,  qu’ils et elles utilisent des tactiques pacifistes ou non, si l’objectif  est l’arrêt de l’écocide en cours. Solidarité donc avec les personnes  qui décrochent des portraits, celles qui désobéissent pour sauver la  Planète de façon non-violente ou non-non-violente. Mais si nous sommes  solidaires, nous sommes aussi critiques. Le décrochage de portrait est  une action symbolique et un peu burlesque qui peut probablement attirer  la sympathie d’un certain public. Nous pensons par ailleurs qu’il est  possible de mener des actions directes de résistance : qui bloquent et endommagent réellement l’économie, le capitalisme, la pollution qui soient clairement identifiées en tant que telle pour communiquer aussi un symbole qui attirent l’attention des grands médias car elles sont efficaces qui permettent de reconquérir des ressources et du territoire qui ne laissent aucune chance au système de se rétablir suivant ses propres termes qui désignent les coupables de l’écocide et délégitiment le gouvernement La suite de l'article sur le blog floraisons : https://floraisons.blog/podcast1-12/