DSK : "La tendresse est quelque chose que je laisse peu sortir"

Confidentiel - Un podcast de RTL

Dominique Strauss Kahn ne fut jamais président de la République. Son double intime, DSK, en avait décidé autrement. Ce n'est pas un bourreau de travail mais il est doué pour les études. Il possède le don de mémoriser à une vitesse fulgurante les pages entières d'un livre. Il apprend ses leçons bien plus rapidement que tous ses camarades. Les jeunes filles au pair étrangères qui se succèdent dans la famille ont pour consigne de s'adresser à lui que dans leur langue natale. A dix ans, le futur DSK parle déjà allemand et anglais. Il a quelques notions d'arabe, langue qu'il n'apprendra vraiment que des années plus tard. Dominique Strauss Kahn ne cessera jamais de travailler sa super mémoire. La confrontant à des jeux de casse-tête, ou à des parties d'échecs aux combinaisons les plus sophistiquées sur ses téléphones portables. On le surprendra même, sur un télésiège, en train de sortir de sa poche d'anorak un petit échiquier électronique pour poursuivre une partie en pleine montagne...