Un veilleur qui veille (22-10-2024)

10 minutes avec JĂ©sus - Un podcast de 10 minutes avec JĂ©sus

🙏 Mets-toi en prĂ©sence de Dieu, pour essayer de Lui parler. Tu disposes de 10 minutes, pas plus : va jusqu’au bout, mĂŞme si tu te distrais. PersĂ©vère. Prends ton temps et laisse l’Esprit Saint agir 'Ă  petit feu'. Un passage de l’Évangile, une idĂ©e, une anecdote, un prĂŞtre qui s’adresse Ă  toi et au Seigneur, et t’invite Ă  entrer dans l’intimitĂ© de Dieu. Choisis le meilleur moment, imagine que tu es avec Lui, et appuie sur play pour commencer. 📲 Toutes les infos sur notre site : www.10minutesavecjesus.org Contact : [email protected] Lc 12, 35-38 Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumĂ©es. Soyez comme des gens qui attendent leur maĂ®tre Ă  son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera Ă  la porte. Heureux ces serviteurs-lĂ  que le maĂ®tre, Ă  son arrivĂ©e, trouvera en train de veiller. Amen, je vous le dis : c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place Ă  table et passera pour les servir. S’il revient vers minuit ou vers trois heures du matin et qu’il les trouve ainsi, heureux sont-ils ! Cantique des Cantiques, 5, 2 ; 4-5a Je dors, mais mon cĹ“ur veille… C’est la voix de mon bien-aimĂ© ! Il frappe ! – Ouvre-moi, ma sĹ“ur, mon amie, ma colombe, ma toute pure, car ma tĂŞte est humide de rosĂ©e et mes boucles, des gouttes de la nuit. Mon bien-aimĂ© a passĂ© la main par la fente de la porte ; mes entrailles ont frĂ©mi : c’était lui ! Je me suis levĂ©e pour ouvrir Ă  mon bien-aimĂ©, Mc 14, 37-38 « Simon, tu dors ! Tu n’as pas eu la force de veiller seulement une heure ? Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation ; l’esprit est ardent, mais la chair est faible. » St François de Sales, Introduction Ă  la vie dĂ©vote [86] OĂą que les oiseaux volent, ils rencontrent l’air : oĂą que nous soyons, Dieu est prĂ©sent. Tout le monde sait cela ; pourtant, bien peu y prĂŞtent attention. Les aveugles, avertis de la prĂ©sence d’un prince, et bien qu’ils ne le voient pas, se tiennent respectueusement. Aussi comme ils ne le voient pas, ils oublient facilement sa prĂ©sence et en relâchent d’autant leur maintien. HĂ©las, PhilothĂ©e, nous ne voyons pas Dieu, et pourtant il est lĂ . La foi nous assure de sa prĂ©sence, mais nous ne le voyons pas de nos yeux. Si bien qu’il nous arrive de n’y plus songer et de nous comporter comme s’il Ă©tait loin. Nous savons bien qu’il est prĂ©sent partout, mais comme nous n'y pensons pas, c’est comme si nous ne le savions pas. GT